Provient de ce billet : http://blog.springshare.com/2016/03/22/libguides-2-1-12-update-unified-search-and-lti-updates-are-here/
Ce qui m'intéresse, c'est la diversité de objets retournés, classés dans des boîtes par catégories. Capture utile pour illustrer cette méthode de présentation de résultats de recherche, par exemple pour un portail de bibliothèque ou d'un outil de découverte
Un « framework » pour livre électronique. À explorer.
via @antoinentl : https://www.quaternum.net//2016/06/30/un-framework-pour-le-livre-numerique/
Quelques exemples utiles de la commande grep
.
En tant qu'ingé réseau, je vois très bien d’où ça vient. Dans la plupart des schémas réseau, le nuage, c'est le machin en haut auquel on raccorde son réseau, qui lui est détaillé. Ce symbole signifie en gros : "le reste du monde (enfin de l'internet généralement) qu'on ne peux pas représenté sur le schéma parce que c'est trop compliqué et qu'on s'en fout de comment c'est fait". Bref, la définition originale d'un nuage, c'est en gros : on sait pas comment c'est foutu, on sait pas comment ça marche, mais on s'en fout, du moment que ça marche.
Un cas très intéressant de construction d'un modèle RDF pour un fonds d'archive, en lieu et place de la norme EAD, pour mieux décrire le fonds lui-même, et mieux le parcourir. Quelques passages intéressants:
Ce qui est fascinant avec le fonds Marker c’est que quel que soit le carton qu’on ouvre, les éléments nous rappellent d’autres éléments croisés plus tôt. A tel point qu’on pourrait s’y perdre (c’est d’ailleurs ce qui se passe régulièrement). Le rapprochement, c’est le principe qui semble organiser le fonds. Marker a réuni des éléments disparates dans des boîtes à chaussures, des cartons, des pochettes, autour d’un sujet, d’une ressemblance. C’est toute la dynamique qu’on retrouve dans sa bibliothèque, par un simple procédé d’insertion physique, souvent à la page près, deux éléments distincts sont connectés, un sens nouveau né de l’association se dégage. La richesse de la bibliothèque repose sur sa fragilité, si on sépare le document inséré de son ouvrage on perd la valeur produite par le rapprochement.
Chris Marker s’est passionné pour l’informatique dès les origines. De ses créations informatiques on peut citer le programme conversationnel Dialector écrit en Basic Apple Soft en 1985, ou encore le CD-ROM Immemory (1997). Une opération de sauvegarde est actuellement lancée sur 553 disquettes 5.25 pouces liées au programme Dialector. Plus largement, les archives numériques représentent 15 Terra-octet de données numériques natives. Ce gigantisme, difficilement traitable manuellement, constitue pour la Cinémathèque une invitation à élaborer des pistes de réflexion, concernant ce fonds mais également ceux à venir.
Le RDF permet de construire un vaste réseau tentaculaire et décentralisé, à la différence par exemple de l’XML-EAD au fonctionnement arborescent. J’ai choisi le RDF pour son adéquation directe entre l’objet à décrire et le modèle proposé pour le représenter. Car le fonds entier (la bibliothèque avec lui) est parcouru d’associations complexes, multicritères, et un plan de classement hiérarchisé et arborescent, même établi sur mesure, parviendrait difficilement à en décrire la richesse.
A la différence d’un système arborescent, le RDF permet de déplacer le regard, de rebondir, il autorise chaque utilisateur à emprunter un chemin différent, en fonction de ses intérêts. Quand on regarde le fonds d’un peu plus près on a l’impression d’observer un immense réseau multidirectionnel, cet proximité directe entre l’objet à décrire et son modèle s’est révélée assez fascinante.
MONNIER, Camille et N’DIAYE, Nola, 2016. Élaboration d’un modèle appuyé sur le RDF dans le cadre de la réalisation d’une Bibliothèque virtuelle Chris Marker à la Cinémathèque française. Chroniques chartistes [en ligne]. 22 décembre 2016. [Consulté le 8 janvier 2017]. Disponible à l’adresse : https://chartes.hypotheses.org/1442
via : @Daymonin
Lorsqu’une plateforme de blog montre des signes de faiblesse, c’est le bon moment pour s’interroger sur nos pratiques de publication et de présence sur le web, pour ne pas dépendre des services tiers et des silos : choisir ses outils, et suivre la formule magique POSSE, pour Publish (on your) Own Site, Syndicate Elsewhere, proposée par l’IndieWeb. En d’autres termes : réveillez les blogs !
Une réaction aux nouvelles venues de Medium, avec un exposé aussi clair que succinct sur les possibilités et stratégie de publication sur le web.
Un bon exemple de la difficulté de respecter les règles typographiques dans l'univers numérique actuel. Selon les règles de typographie en vigueur en Suisse romande, l'espace devant les ponctuations qui en prennent une, doit être insécable, certes, mais également fine. Or ce caractère unicode est encore peut supporté par les fontes de caractères et les navigateurs web. Du moins, c'est ce qui est prétendu dans cette issue du dépôt des styles csl
pour Zotero.
Pourtant j'apprécierais d'avoir une version du style iso690 en français avec les espaces fines insécables et le support des petites majuscules pour les noms des auteurs.
Un bref historique et explication du Web sémantique, avec un point de vue différent de ce que j'ai l'habitude de lire.
GitLab Pages devient libre. Ouvre d'intéressantes perspectives.
Les 10 principes pour la protection des données de vos utilisateurs. Pourrait s'appliquer bien entendu aux bibliothèques et aux fournisseurs de logiciels ou de services pour les bibliothèques.
via https://twitter.com/jschneider/status/812360040082456576/photo/1
Pour insérer un caractère unicode sous GNU/Linux, par exemple dans le terminal, il faut utiliser une combinaison de touches et ajouter le code numérique correspondant. La combinaison de touches est ctrl+shift+u
et il faut maintenir le U
, puis entrer le code :
202f
00ab
00bb
Si quelqu'un à une autre solution pour insérer ces caractères dans un terminal, en utilisant vi
, vim
ou nvim
, dans la syntaxe markdown et que ce soit convertible en HTML ou PDF, qu'il le signale. :)
Un début de guide typographique sur le web, utilisant les règles suisses-romandes, qui diffèrent des françaises, bien entendu. Je l'ai découvert récemment à partir d'un différent avec un collègue sur la notion d'espace insécable avant certaines ponctuations et des majuscules accentuées.
Certaines ponctuations prennent bien une espace avant, mais elle est fine, ce qui est encore assez mal supporté dans le domaine numérique. Et les initiales majuscules ne sont pas accentuées. On accentue les majuscules seulement si le mot est entièrement en majuscules : Etat, Eglise, mais ÉTAT, ÉGLISE.
Edit: du coup d'utilisation de grammalecte va commencer à me poser problème... :)
Se base sur les références suivantes : http://www.typoguide.ch/references/ouvrages/
Un patch pour gnome-setting-daemon
et une extension Gnome pour implémenter une fonction de type redshift
sous Wayland. Fait le job.
via http://libre-ouvert.toile-libre.org/index.php?article225/retrospective-2016 qui pointe sur http://www.thelinuxrain.com/articles/redshift-functionality-on-fedora-25-gnome-wayland-yes-its-possible qui donne la méthode pour Fedora (et arch).
Une ontologie qui devrait permettre de donner du sens à une citation, expliciter ce qu'elle réalise : confirme, infirme, réfute...
Ce qui pourrait donner du grain à moudre à la bibliométrie...
via : http://kcoyle.blogspot.com/2016/12/transparency-of-judgment.html (planet code4lib)
Recense et classe les vocabulaires et ontologies par domaine. Offre une interface de recherche.
via : https://www.zotero.org/igor.m/items/itemKey/BVACJMWB/ p. 33 (43)
Les sources du module serials de Koha-community.
Le dépôt git
de Koha est en miroir sur github.
Fonctionne parfaitement avec vim
et neovim
en utilisant le vim-plugin, avec l'avantage notable d'être « responsive ».
Remplace avantageusement le instant-markdown-preview
.