Les chiffres valent ce qu'ils valent, mais c'est un point de comparaison. Je suis à la recherche d'arguments pour choisir telle ou telle suite office libre, afin de l'intégrer à des cours de bureautique (dans lesquels M$ se taille la part de l'ogre).
Un article intéressant [toujours depuis l'alambic] sur l'utilisation d'outils comme l'indexation RAMEAU pour la réalisation des "outils de découverte" (ou les catalogues du présent-futur).
Résumé:
"Bien que les organisations soient de plus en plus nombreuses à implanter des réseaux sociaux d’entreprise destinés en interne à être utilisés par leurs employés, les conversations portant sur le travail empruntent aussi d’autres réseaux : les médias sociaux numériques (rsn) « publics ». Ainsi, il devient important de prendre en compte les pratiques collaboratives au travail selon les échelles et modalités nouvelles offertes par des plateformes qui traversent les sphères d’activités privées et publiques des travailleurs. La plateforme de microblogage Twitter est utilisée notamment par certains travailleurs pour diffuser des connaissances tacites ou formalisées, mais aussi les hypothèses et pistes de réflexion qui jalonnent leurs pratiques professionnelles. Alors que Twitter n’a pas été conçu à l’origine pour la conversation ni la collaboration, cette plateforme de microblogage s’immisce de façon informelle dans le quotidien des travailleurs, en leur permettant de communiquer en temps réel, via un canal public qui n’est pas nécessairement autorisé, reconnu ni contrôlé par leur organisation de travail, avec un public excédant les frontières de l’entreprise. Ainsi, les commentaires et les interactions que suscitent ces diffusions peuvent favoriser l’émergence de réseaux informels de collaboration. Cet article tente d’identifier et de caractériser les différentes formes de pratiques informelles de mise en visibilité du travail et de collaboration numérique par l’entremise de la plateforme de microblogage Twitter. Les exemples présentés permettent d’illustrer la place faite spontanément à cette plateforme par les travailleurs ayant volontairement décidé de l’intégrer dans leurs pratiques professionnelles. Nous distinguons quatre types d'usages : les récits portant sur le travail, l’ouverture et le partage de traces de son travail, la diffusion d'intentions et les « questions à la foule ».
Le point de vue d'un chercheur sur les archives et ce que change le numérique.
Infographie sur la durée de différents supports de stockage de l'information.
via @sebsauvage : http://sebsauvage.net/links/?fDvwjw
Intéressante architecture de bibliothèque au Japon
Liste de tous les éléments HTML définis dans HTML5 ou avant. Selon le Mozilla Developer Network
Une partie de la communauté des shaarlieurs cogite passablement pour faire communiquer les shaarlis entre eux. Très intéressant, et peut-être prometteur. Une des réalisations concrètes de la reconstruction des internets.
Des liens :
- Supershaarli http://hub.tomcanac.com/liens/?bI2fsA
- Shaarlis connection : http://sebsauvage.net/paste/?d356cf6380b51ee1#gr8gDvYDtsOVLpDoMMf/wKibdk/LBv8EF+Lh4r1enhA
De mon côté j'y vois la possibilité de fédérer des veilles. Je pense que ça devrait fortement intéresser le monde des ID (gouvernance de l'information).
Comment gérer des références bibliographiques complètes dans Beamer
Un bonne pratique intéressante pour éviter de forcer l'utilisateur à passer par les liens de navigation à chaque chargement de page
extrait de 4e de couverture : "The author demonstrates that the Internet as a global communications space i a self-organising entity that has proven problematic for regulators, and that in order to regulate cyberspace, one must first uderstand how the network operates. In order to illustrate how the world wide web operates, Andrés Guadamuz presents case studies in copyright policy, peer-production ans cybercrime, providing in-depth analyses of challenges posed by the Internet's complex dynamic networks. The book concludes that regulatory efforts that ignore empirical evidence will utimately encounter serious problems."
"Post-PC means post-Office
One area where tablets are really lacking is support for traditional office tools like word processors and spreadsheets. There is a Google Drive client, but it is very slow (even small spreadsheets can take minutes to load) and mostly non-functional (word processor doesn't even support headlines).
There are also some other office suites available, but even these are better used for viewing documents than actually making changes to them.
But the bigger question is whether traditional office tools even have a place in this modern world. The commentary on constant delays with Microsoft Office for iOS and Android shows that people don't see them as that relevant any longer:
For the longest time, Office was the ubiquitous productivity suite. Everybody used it. Nobody considered using anything else. However, since this mobile revolution started, even non-geeks are starting to question whether Office is still all that. I had breakfast this morning with a CPA who does all of his work in Google docs. There is an entire generation of future workers going through high school and college now who don’t even have Office installed on their computers. If Microsoft has any hopes of keeping Office relevant, it needs to be everywhere, including the iPad.Personally, I might be a lot better off writing my documents in Markdown, versioning them with git, and maybe using custom data-gathering applications with CouchDB map-reduces for data visualization."
Montre que la diffusion d'information se limitant au .pptx/.odp est une très mauvaise idée.
Un fort besoin de pouvoir utiliser un langage de balise simple, souple et interopérable.
En route pour une balade de 5 articles de @bluetouff dans un paysage de CMS. Fort instructif
Quelques liens intéressants sur un logiciels de sondage en ligne, à herberger soi-même
Un wiki rassemblant de la documentation sur l'usage de LaTeX
[edit] Twitter a coupé le fil. Exit, fini. Le silo est désormais hermétique...
Il est également possible de créer un flux RSS d'un #hashtag. L'URL à connaître est la suivante :
http://search.twitter.com/search.atom?q=%23
Il suffit de lui ajouter le #hashtag désiré. Par exemple: http://search.twitter.com/search.atom?q=%23shaarli
A noter que le flux générer doit être limité dans le temps, ce qui fait que pour un #hashtag peu utilisé, il risque bien d'être vide