Service web pour l'édition en ligne de document dans la syntaxe markdown, collaborativement. Permet également d'exporter les document soit en format texte, soit en divers formats, via une conversion par pandoc
, dont on peut modifier le comportement, les templates, etc.
Différents comptes possibles, du gratuit au payant.
via http://erambler.co.uk/blog/collaborative-markdown-editing/ (voir ce shaarlien)
Realtime collaborative markdown notes on all platforms.
Edit : avec un éditeur qui émule Sublime, Emacs ou VIM, quand même. Et une autocomplétion.
Edit : et on peut insérer des images, qui sont uploadées sur imgur...
Edit : et produire des slides avec reveal.js très simplement...
Edit : sources
via @aeris
Plugin GitBook affichant un lien pour éditer la page courante. Le lien pointe vers un dépôt Git (Github, Gitlab, ...). L'utilisateur, s'il n'a pas des droits en écriture sur le dépôt, est encouragé à forker le projet et à faire un pull request.
Un projet développé par le NYPL-Lab, dans le cadre d'un effort de transcription de documents numérisés, sur l'histoire de l'immigration.
Scribe is a highly configurable, open source framework for setting up community transcription projects around handwritten or OCR-resistant texts. Scribe is particularly geared toward digital humanities, library, and citizen science projects seeking to extract highly structured, normalizable data from a set of digitized materials (e.g. historical manuscripts, account ledgers, catalog cards, or maritime logbooks).
Méthode pour éditer un fichier calc depuis plusieurs postes via un service de synchronisation à distance.
Outil d'édition collaborative de texte en ligne, spécialement conçu pour la rédaction d'articles scientifiques. Un effort substantiel est fait pour l'aide à la rédaction, avec des modèles, dont certains sont adaptés à la soumission d'articles dans telle ou telle revue.
Les articles peuvent être édités en markdown ou en LaTeX, et sont convertis en PDF ou documents Microsoft Word (?) via pandoc.
Bien entendu, il y a un système de versionning : git. Et on peut associer un article avec un repository git, que ce soit sur Github ou ailleurs. Ce qui permet de travailler hors ligne également.
Pour la bibliographie, apparemment on peut "glisser" des références depuis Zotero ou Mendeley.
Le code d'Authorea ne semble pas libre, du moins rien est fait pour le mettre en évidence. Pour l'utilisation, il y a plusieurs type de comptes, le premier gratuit, puis payant, avec un seul article privé pour le compte gratuit, et jusqu'à 25 pour la suite.
via grolimur : http://www.nous4.ch/shaarli/?ra12_Q
"A free and open-source software project launched in 2011, PressForward enables teams of researchers to aggregate, filter, and disseminate relevant scholarship using the popular WordPress web publishing platform. Just about anything available on the open web is fair game: traditional journal articles, conference papers, white papers, reports, scholarly blogs, and digital projects."
Un projet pour l'édition de document LaTeX de manière collaborative.
"\BlueLaTeX est une plateforme d'édition collaborative de documents écrits en \LaTeX qui consiste en un serveur exposant une API Restful pour gérer les documents, leur synchronisation et leur compilations, et d'une application web jouant le rôle de client (bien que ce soit le seul client actuellement, n'importe quel éditeur de texte peut potentiellement être étendu pour devenir un client \BlueLaTeX), le tout sous licence Apache version 2.0."
Les sources : https://github.com/gnieh/bluelatex
Le journal sur LinuxFR : http://linuxfr.org/users/george/journaux/des-nouvelles-de-bluelatex-release-candidate-et-systemes-a-entites
Un outil de travail collaboratif, opensource, possibilité de l'héberger soi-même.
Il s'agit d'un groupware, opensource.
Penflip est un outil basé sur git qui a pour objectif de faciliter le travail collaboratif pour la production de texte, même pour les non-développeurs. Pourtant, il offre la possibilité de travailler avec git, d'où ce shaarlink.
Un logiciel d'écriture collaborative dans une interface Web. Sur une base de python. A tester.
Site qui organise la numérisation des livres du domaine public en livres électroniques, en répartissant les tâches.
Résumé:
"Bien que les organisations soient de plus en plus nombreuses à implanter des réseaux sociaux d’entreprise destinés en interne à être utilisés par leurs employés, les conversations portant sur le travail empruntent aussi d’autres réseaux : les médias sociaux numériques (rsn) « publics ». Ainsi, il devient important de prendre en compte les pratiques collaboratives au travail selon les échelles et modalités nouvelles offertes par des plateformes qui traversent les sphères d’activités privées et publiques des travailleurs. La plateforme de microblogage Twitter est utilisée notamment par certains travailleurs pour diffuser des connaissances tacites ou formalisées, mais aussi les hypothèses et pistes de réflexion qui jalonnent leurs pratiques professionnelles. Alors que Twitter n’a pas été conçu à l’origine pour la conversation ni la collaboration, cette plateforme de microblogage s’immisce de façon informelle dans le quotidien des travailleurs, en leur permettant de communiquer en temps réel, via un canal public qui n’est pas nécessairement autorisé, reconnu ni contrôlé par leur organisation de travail, avec un public excédant les frontières de l’entreprise. Ainsi, les commentaires et les interactions que suscitent ces diffusions peuvent favoriser l’émergence de réseaux informels de collaboration. Cet article tente d’identifier et de caractériser les différentes formes de pratiques informelles de mise en visibilité du travail et de collaboration numérique par l’entremise de la plateforme de microblogage Twitter. Les exemples présentés permettent d’illustrer la place faite spontanément à cette plateforme par les travailleurs ayant volontairement décidé de l’intégrer dans leurs pratiques professionnelles. Nous distinguons quatre types d'usages : les récits portant sur le travail, l’ouverture et le partage de traces de son travail, la diffusion d'intentions et les « questions à la foule ».
Un dépêche de Linuxfr très intéressante sur Openstreetmap