dokieli is a clientside editor for decentralised article publishing, annotations and social interactions.
Contexte et historique de la publication du meilleur article scientifique de tous les temps, montrant que l'hydroxychloroquine est un traitement préventif contre les accidents de trottinette.
Montre également, une fois de plus, que le système de publication de la connaissance scientifique est plutôt pété, ce qui est attendu dans un système capitaliste en décrépitude avancée.
SHERPA/RoMEO est un service produit par SHERPA basé à l'université de Nottingham qui recense les politiques des revues scientifiques en matière de copyright et d'auto-archivage. La base de données utilise un code couleur pour catégoriser les éditeurs en fonction de leur politique de mise en accès du document électronique. En consultant la base de données de SHERPA/RoMEO, le chercheur peut savoir si une revue permet, pour à l'auteur d'un article d'en publier une version (pre print ou version finale) et si oui, dans quelles conditions (plateforme de diffusion, délai d'embargo...).
ref sur fr.wikipedia
Un texte qui plaide pour une vraie désintoxication. Et pour faire que la recherche se mette à être utile...
Quiconque affirme aujourd'hui qu'en acceptant de publier dans des revues scientifiques sans systématiquement déposer son texte dans une archive ouverte et/ou avec une licence d'attribution non-commerciale il ignore ou feint d'ignorer sa part de responsabilité dans la situation catastrophique de privatisation de la connaissance que mettent en œuvre quelques grands groupes éditoriaux à l'échelle de la planète, celui-là est à la fois un idiot, un menteur et surtout un irresponsable.
C'est pas à la portée de tous, en tout cas pas à la mienne, mais c'est très intéressant.
L'adresse onion de Sci-Hub.
Traduction d'une self-defense par l'une des personne derrière Sci-Hub.
Un article explorant la possibilité de formater une publication scientifique en HTML et CSS. Très intéressant.
A comparer avec #scholmd ou Authorea, par exemple.
Une version de markdown pour écrire des articles scientifiques. Et son rapport avec l'effort de standardisation de markdown (CommonMakdown).
Outil d'édition collaborative de texte en ligne, spécialement conçu pour la rédaction d'articles scientifiques. Un effort substantiel est fait pour l'aide à la rédaction, avec des modèles, dont certains sont adaptés à la soumission d'articles dans telle ou telle revue.
Les articles peuvent être édités en markdown ou en LaTeX, et sont convertis en PDF ou documents Microsoft Word (?) via pandoc.
Bien entendu, il y a un système de versionning : git. Et on peut associer un article avec un repository git, que ce soit sur Github ou ailleurs. Ce qui permet de travailler hors ligne également.
Pour la bibliographie, apparemment on peut "glisser" des références depuis Zotero ou Mendeley.
Le code d'Authorea ne semble pas libre, du moins rien est fait pour le mettre en évidence. Pour l'utilisation, il y a plusieurs type de comptes, le premier gratuit, puis payant, avec un seul article privé pour le compte gratuit, et jusqu'à 25 pour la suite.
via grolimur : http://www.nous4.ch/shaarli/?ra12_Q
Sorte de réseau social pour chercheur, où l'on peut uploader un article et l'offrir aux appétits voraces des commentateurs, censés être des pairs.
OpenDOAR a configuré Google pour aller chercher dans les archives ouvertes (repositories) qu'il recense.
Un moteur de recherche qui va fouiller dans les archives ouvertes, ou les OAI repositories. Par OCLC
Résumé:
"Bien que les organisations soient de plus en plus nombreuses à implanter des réseaux sociaux d’entreprise destinés en interne à être utilisés par leurs employés, les conversations portant sur le travail empruntent aussi d’autres réseaux : les médias sociaux numériques (rsn) « publics ». Ainsi, il devient important de prendre en compte les pratiques collaboratives au travail selon les échelles et modalités nouvelles offertes par des plateformes qui traversent les sphères d’activités privées et publiques des travailleurs. La plateforme de microblogage Twitter est utilisée notamment par certains travailleurs pour diffuser des connaissances tacites ou formalisées, mais aussi les hypothèses et pistes de réflexion qui jalonnent leurs pratiques professionnelles. Alors que Twitter n’a pas été conçu à l’origine pour la conversation ni la collaboration, cette plateforme de microblogage s’immisce de façon informelle dans le quotidien des travailleurs, en leur permettant de communiquer en temps réel, via un canal public qui n’est pas nécessairement autorisé, reconnu ni contrôlé par leur organisation de travail, avec un public excédant les frontières de l’entreprise. Ainsi, les commentaires et les interactions que suscitent ces diffusions peuvent favoriser l’émergence de réseaux informels de collaboration. Cet article tente d’identifier et de caractériser les différentes formes de pratiques informelles de mise en visibilité du travail et de collaboration numérique par l’entremise de la plateforme de microblogage Twitter. Les exemples présentés permettent d’illustrer la place faite spontanément à cette plateforme par les travailleurs ayant volontairement décidé de l’intégrer dans leurs pratiques professionnelles. Nous distinguons quatre types d'usages : les récits portant sur le travail, l’ouverture et le partage de traces de son travail, la diffusion d'intentions et les « questions à la foule ».