À Genève, les sas-vélos (je ne savais pas que ça s'appelait ainsi) sont 1) occupés par les scooteristes et les motocyclistes 2) occupés par les voitures afin d'éviter que des vélos ne s'y glissent. J'exagère à peine.
Apaiser la circulation, c'est rendre la voie publique publique et accessible à tous, pas seulement aux voitures. C'est surtout augmenter le bien être.