« Que faire face à ces évènements « gris » qui entretiennent la confusion entre science, lobbyisme, causeries mondaines et pseudo-débat de plateaux de chaînes de télévision en continu, lorsqu’ils servent à alimenter la désinformation scientifique ? On sait que toute tentative de les faire annuler conduit désormais à une avalanche de tribunes dans la presse conservatrice reprenant la rhétorique du free speech des libertariens de langue anglaise : la revendication de pouvoir dire n’importe quoi, et en particulier dans les murs des institutions du savoir. »