Explique assez clairement que si on désire comprendre l'impact sur le climat du numérique, un calcul des émissions moyennes par requête n'a pas tellement de sens.
C'est intéressant, parce que l'avenir de la voiture, et des transports, c'est moins de voiture, moins de déplacement. Un véhicule zéro émission, ça existe peut-être, mais ça roule pas très vite.
Et encore, même un vélo il faut le construire, le transporter depuis l'endroit de sa construction au magasin où il sera monté.
Le texte d'une conférence qui défend l'idée que l'augmentation de la complexité technologique pour en améliorer l'efficacité ne permet pas de réduire la consommation, bien au contraire. Le texte montre aussi que la basse technologique (Low Tech), ou une société sobre, ne signifie pas non plus le retour à la caverne.
Si la lecture sur Medium ne vous convient pas, je partage l'article via mon wallabag.
Voir aussi : BIHOUIX, Philippe, 2014. L’âge des low-tech: vers une civilisation techniquement soutenable [en ligne]. Paris : Seuil. Anthropocène. ISBN 978-2-02-116072-7. http://data.rero.ch/01-R007645400
Ce site est dévolu à la promotion des logiciels libres dans une perspective de développement durable
Our goal is to make the invisible visible. We are quite literally aiming to put logging roads, industrial agriculture, dams, and fracking on the map.
En utilisant les données d'OpenStreetMap, Map for Environment cherche à rendre visible la destruction des ressources naturelles : routes de déforestation, agriculture industrielle, barrages, fracking...
via mapbox : https://www.mapbox.com/blog/map-for-environment/
L'intérêt de l'agriculture bio, du moins d'une certaine agriculture bio (plutôt locale, par exemple), est d'abord d'alléger l'empreinte écologique de la production de nos aliments.
L'important, c'est de faire en sorte que les terres restent fertiles et de diminuer la consommation d'énergie fossile (transports, engrais, pesticides, etc.).
L' agroécologie est de ce point de vue tout à fait intéressante également.
Edit : enfin, si l'on réduit la consommation de produit dangereux par l'agriculture industrielle (qui est assez récente, somme toute), il est possible que le niveau de ces produits diminue dans les fruits et légumes bio.