Carte de la Suisse basée sur Openstreetmap, recensant les bibliothèques et les musées. Cherche à encourager la mise en évidence de ces institutions. Bibliothécaires : éditer Openstreetmap !
Et hop, voici l'avis de @Kitetoa sur @Reflets En fait PRISM fait partie du "Machin", qui est de notoriété publique depuis 2001...
Quand #PRISM fait bien rigoler @bluetouff. Pas dénué d'intérêt, quoi qu'il en dise... (son billet donc)
Un trio de jazz qui débute, mais qui a déjà comme de la bouteille. Sax, Contrebasse, Batterie et une ambiance un peu humour noir et de toutes les couleurs. En CC-BY-SA-NC, avec téléchargement en mp3 ou wav. Give it a try, give it a chance.
Comme son titre l'indique. Intérêt supplémentaire : montre dans quelle région du monde ces caractères sont utilisé.
Via @sebsauvage : http://sebsauvage.net/links/?v-Y_6w
Petit tutoriel bien fait pour installer un serveur de clés.
L'école peut enchaîner ou libérer. Le plus souvent, elle enchaîne. C'est difficile d'enseigner la liberté avec Applosoft.
News proposée par cep, trouvée sur le forum de Cyrille Borne et associés
Une liste d'outils intéressants pour rendre l'accès à ses données personnelles plus difficile pour les États policiers. Avec pas mal de libre dedans.
" [...] on n'attaque pas la science parce que celle-ci serait porteuse de certitudes trop ancrées, on n'attaque pas la dimension prométhéenne de la science. Non : on attaque précisément la science pour ce qu'elle est porteuse de doute."
Un article qui éclaire le fonctionnement de la réaction et des réactionnaires. A lire et à partager.
Via @bleu-pale http://bleu-pale.fr/links/?DPIrIQ
On ne présente plus les billets de @nicolargo. Ici, comme le titre l'indique : iptables
Les chiffres valent ce qu'ils valent, mais c'est un point de comparaison. Je suis à la recherche d'arguments pour choisir telle ou telle suite office libre, afin de l'intégrer à des cours de bureautique (dans lesquels M$ se taille la part de l'ogre).
Deux liens vers des ressources sur Python et sur Javascripts, principalement des eBooks en anglais, avec une ou deux références en français.
Communiqué de presse de Stop Exclusion après le nième dimanche de votation de destruction du droit d'asile en Suisse, s'il a jamais existé.
Ben en termes de surveillance généralisée, on a de sacrées confirmations ces jours...
Une information utile et sympathique de la part de Tiger-222 :
"Le truc est simple et assez moche.
Avec Acrobat Reader, par défaut, aucun PDF n'est enregistrable avec les données du formulaire entrées... Sauf s'il a été généré avec une option spéciale à l'aide de la version professionnelle. Bof bof moyen quoi.
Si vous avez la version pro, ouvrez le document PDF, puis faîtes :
Fichier > Enregistrer sous... > Fichier PDF Reader Extended > Activer les fonctions supplémentaires...
Comme ceci, votre PDF sera enregistrable par le commun des mortels. C'est juste dégueulasse de la part d'Adobe.
Sous Gnu/Linux, avec Evince par exemple, il n'y a pas ce genre de soucis.
Pour les windowsiens, Foxit PDF Reader peut le faire. Par contre, et j'en suis surpris, SumatraPDF ne le gère pas encore (bien que dans l'historique des versions, il semble que ça soit pris en compte).
PS : juste pour le fun, j'ai fait un diff des deux documents pour voir si un ptit script perl ou python aurait pu arranger ça, mais c'est mort : 577 lignes modifiées..."
Un article intéressant [toujours depuis l'alambic] sur l'utilisation d'outils comme l'indexation RAMEAU pour la réalisation des "outils de découverte" (ou les catalogues du présent-futur).
Publication par The Guardian d'un ordre de justice "top secret" [le concept de justice secrète est... comment dire... ?] obligeant un opérateur (Verizon) d'enregistrer toutes les données de communication (aux USA et entre les USA et leur étranger à eux) de tous les abonnés.
[edit] l' EFF en parle aussi : https://www.eff.org/deeplinks/2013/06/confirmed-nsa-spying-millions-americans (via @sebsauvage)
Résumé:
"Bien que les organisations soient de plus en plus nombreuses à implanter des réseaux sociaux d’entreprise destinés en interne à être utilisés par leurs employés, les conversations portant sur le travail empruntent aussi d’autres réseaux : les médias sociaux numériques (rsn) « publics ». Ainsi, il devient important de prendre en compte les pratiques collaboratives au travail selon les échelles et modalités nouvelles offertes par des plateformes qui traversent les sphères d’activités privées et publiques des travailleurs. La plateforme de microblogage Twitter est utilisée notamment par certains travailleurs pour diffuser des connaissances tacites ou formalisées, mais aussi les hypothèses et pistes de réflexion qui jalonnent leurs pratiques professionnelles. Alors que Twitter n’a pas été conçu à l’origine pour la conversation ni la collaboration, cette plateforme de microblogage s’immisce de façon informelle dans le quotidien des travailleurs, en leur permettant de communiquer en temps réel, via un canal public qui n’est pas nécessairement autorisé, reconnu ni contrôlé par leur organisation de travail, avec un public excédant les frontières de l’entreprise. Ainsi, les commentaires et les interactions que suscitent ces diffusions peuvent favoriser l’émergence de réseaux informels de collaboration. Cet article tente d’identifier et de caractériser les différentes formes de pratiques informelles de mise en visibilité du travail et de collaboration numérique par l’entremise de la plateforme de microblogage Twitter. Les exemples présentés permettent d’illustrer la place faite spontanément à cette plateforme par les travailleurs ayant volontairement décidé de l’intégrer dans leurs pratiques professionnelles. Nous distinguons quatre types d'usages : les récits portant sur le travail, l’ouverture et le partage de traces de son travail, la diffusion d'intentions et les « questions à la foule ».
Un truc déjà un peu ancien, mais toujours intéressant. Une carte des #tweets en Germanie, en temps réel. A chaque tweet et rt, un son.